Dans l'édito de Dirt, Mike Rose a écrit:Two Wheels And RollingMost of you reading this will already know what I mean when I say that we are all fanatical about bikes. When I was younger I used to eat, sleep and breathe them. As I grew older certain things have changed, but oddly I still find myself waking up in the morning thinking about bikes! Some (most probably not readers of this magazine) may think that this is slightly worrying for someone of my age, but I just don’t know what it is… OK it is my job, so I guess I have think about them a bit. But it is much more than that, there is something about rolling on two wheels that is hard to match (hippy talk over).
But I know that I am not alone. There are people like Andrew Palmer who organises the annual Yeti Tribemeet, a gathering of die–hard Yeti fans from all over the UK. Then there is Chris Conroy, who (along some fellow employees) liked it so much he bought the company… Yeti that is. Then there are people like Jamie Brockway, a man possessed with the urge to build a complete and precise replica of Shaun Palmer’s 1998 Specialized FSR DH bike using original parts sourced from all around the world. Or young Tom Boase, ‘stoked and pumped’ on having a three hundred quid fully rigid bike to ride around on. Then there are the dirt jumpers, spending hours, days and weeks, shifting and shovelling, smoothing and shaping, perfecting dirt lips and landings. Downhill racers too, travelling miles to camp in muddy and wet fields, only to wake up at the crack of dawn the next day, then sit in the back of a cattle truck just to throw themselves down a hill. Everywhere you look there are fanatics, I mean just look at Sam Hill, two wheels and racing are in his blood. But you know the funny the thing? Most of us don’t even realise it, we’re all the same when it comes to bikes.
Deux roues et "ça roule"
La plupart de ceux d'entre-vous qui lisent ceci savent de quoi je parle quand je dis que nous sommes tous des fanatiques des vélos. Quand j'étais plus jeune je mangeais, dormais et respirais vélo. En vieillissant, certaines choses ont changé mais, bizarrement, Il m'arrive encore de me réveiller le matin en pensant "vélo"!
Certains (qui ne lisent sans doute pas ce magazine) pourraient penser que c'est là un problème pour quelqu'un de mon âge mais, je ne vois vraiment pas pourquoi...
Bien-sûr, ça fait partie de mon travail et cela est bien normal que j'y pense "un peu". Mais c'est bien plus que ça, il y a un truc sur le fait de rouler sur deux roues qui est incomparable (discussion pour "branchés").
Mais je sais que je ne suis pas seul. Il y a des gens comme Andrew Palmer, qui organise la rencontre annuelle de la tribu "Yeti" - un rassemblement de vrai fan de la marque Yeti en Angleterre. Puis il y a Chris Conroy qui (avec quelques employés) aimaient tellement cette marque qu'ils ont rachetés la compagnie - toujours "Yeti".
Il y a aussi d'autres personnes comme Jamie Brockway, complètement possédé par l'urgence de reconstruire une réplique complète et parfaite du Specialized FSR DH 1998 de Shaun Palmer en utilisant des pièces glanées un peu partout autour du monde. Ou le jeune Tom Boase, "gavé et gonflé" de son vélo tout rigide à 300£. Il y a ces "dirt jumpers"
(sauteurs de saleté...
), qui passent des heures, des jours et des semaines entières à modifier et creuser, lisser et modeler, perfectionnant leurs sauts et leurs réceptions. Et les descendeurs ne sont pas en reste, parcourant des kilomètres et des kilomètres jusqu'à des camps installés dans des terrains boueux et humides, pour se réveiller au petit matin le lendemain afin d'aller de s'asseoir à l'arrière d'une "bétaillère", juste pour descendre une colline. Partout ou vous regardez, il y a des "accros"; regardez Sam Hill, le "deux roues" et la compétition coulent dans ses veines...
Mais savez vous le plus drôle de l'histoire ?
Même si la plupart d'entre nous n'en sommes pas conscient, nous sommes tous les mêmes dès qu'il 'sagit de vélo.
Merci de votre indugence...Fernand Naudin a écrit:C'est pas spécialement old school, mais c'est l'outil ultime pour tout singlespeeder qui se respecte : un décapsuleur en titane, avec clé de 15 pour les écrous de roue

Et je parie que tu en as dans ta boutique!

"C'est vrai... Je suis une grosse quiche - mais j'ai des bonnes fiches!"