Mr X a écrit: maintenant, avec la technologie moderne, avec l'évolution positive du matos, on arrive à se concentrer sur la sortie et pas sur le pépin mécanique qui nous attend au coin du bois.
Mr X a écrit: Je ne ferai jamais un Roc sur un tout rigide....
Vous je ne sais pas, mais moi, ces photos m'évoquent surtout les sorties galère où fallait pisser sur les roues libres Maillard pour les empécher de geler, où les freins à base de patins Fibrax hurlaient à la mort dans les descentes, où les dérailleurs DX passaient dans les rayons, où les pattes de dérailleurs passaient leur temps à être ressoudées, où les jantes pliaient pour un rien, où les moyeux et les boitiers crevaient lentement par la boue, où les vitesses passaient leur temps à sauter.
Des cruisers Schwinn, non ?
Skide a écrit:les pratiquants ont quand meme pas mal d emmerdes avec leur TS. Entre les amortos qui marchent pas ou qui fuient, les freins a disques qui fuient aussi, et j en passe...
J ai pas l impression que sur les machines de guerre ultra moderne les galeres n existent plus.
Elles sont jstes differentes.
A la difference qu a l epoque, tu bricolais ton pb sur place et tu pouvais finir ou rentrer sur le velo.
Maintenant, tu l emmenes chez ton bouclard, il repart en SAV, et tu n as plus de velo pdt 2 mois.
Acheter un vélo aujourd'hui, c'est comme l'achat d'une bagnole : faut l'emmener régulièrement chez le mécano pour l'entretien qui devient de plus en plus complexe et coûteux, et nécessitant des outils spéciaux. Plus une mécanique est complexe, plus elle est fragile, sans parler des millions de réglages. Le marché du vélo, c'est un moyen de se faire d pognon, et non une affaire de bricoleur fou.
24pouces a écrit:Le marché du vélo, c'est un moyen de se faire d pognon, et non une affaire de bricoleur fou.
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