Was this the real life? Was this just fantasy?
Caught in a landslide,
No escape from reality
Pas facile de faire un CR après tout ce qui vient de se passer, mais on va essayer. Après quelques heures de route (p&x#n de N147)et un ravito chez Paméla Farfait et Bernadette, on arrive enfin à Saint Aubin de Luigné juste pour l'apéro (enfin l'heure de l'apéro, certains ont pris de l'avance). Retrait des plaques et divers goodies, et, sous une chaleur écrasante, après s'être réhydratés, on attaque le premier repas made in Gazul. La couleur est annoncée, ça va être gastronomique. A peine la dernière bouchée de tarte aux pommes avalée, on saute sur les vélos pour une rando nocturne. La chaleur est toujours étouffante même en pleine nuit. Quelques réparations-sorties de route-marrades plus loin, on finit par rentrer à bon port, pour une douche-binouse (ordre à définir) et dodo pour tout le monde.

Le lendemain matin, petit dej' avec la célèbre Gabrioche, toast bacon-oeuf-Maroilles, selon les directives des coachs. S'ensuit un défilé indéfinissable d'individus de santé mentale déficientes, dans des accoutrements divers et avariés. On fait un tour dans le village sous l'oeil médusé des autochtones, et le départ est donné dans la plus pure tradition débilistique singlespeed. Le soleil est au top, et on roule sous la canicule. Parfait quand on a choisi une peau de bête comme tenue de course...Les meilleurs bouclent 3 tours bien musclés de 10 km, les autres un peu moins... Les organisateurs nous ont soignés, le parcours est bien costaud. Après la course, apéro coteaux du Layon, binouse, etc. avant un repas pantagruélique made by Gazul toujours, arrosé d'un excellent Anjou rouge. Peu de temps pour une microsieste avant de remonter sur les vélos, pour rejoindre la Louet (gentille la Louet) pour une baignade bien méritée et appréciée (sauf des autochtones qui ont pris peur quand Yann s'est jeté à l'eau sur le tandem fat). Retour difficile pour atteindre la buvette. Ensuite, apéro- repas (miam les fouées) et concert portnawak (le groupe s'en souviendra), avec remise des prix. Le SSFR 2017 se tiendra en Ardèche, chez Yann.
On finit par aller se coucher, on roule demain.
Délicieuse rando de longueur diverse, selon les goûts et les organismes de chacun, avec son lot de figures artistiques et pannes mécaniques, une dernière binouse, un dernier graillou, et il est déjà temps de se dire au revoir.
En résumé, encore un weekend de folie, une organisation sans faille (à part le réglage de la clim), une météo de dingue, des beaux parcours, des participants toujours aussi barrés, du bon miam miam, du bon glouglou, c'est dur de revenir à la vie réelle. Encore des gros poutous au staff qui a fait un boulot de dingue, et à tous les participants (anciens et nouveaux) pour être toujours aussi cons